La jeune entreprise toulousaine Rubix a été créée il y a deux ans par Jean-Christophe Mifsud, fondateur de la société Alpha Mos à l’origine du premier nez électronique. Rubix combine des microcapteurs de gaz, d’odeurs et de particules à des logiciels associés à des banques de données dans le cloud, qui reconnaissent les sources de pollution et de nuisances environnementales.
Ses boîtiers connectés sont déjà utilisés par 10 groupes du CAC 40 et 50% du chiffre d’affaires est réalisé à l’international.
Ses applications sont aussi bien destinées au monitoring de l’air intérieur (bureaux, centre commerciaux, hôpitaux,etc.) que de l’air extérieur (villes, ports, usines, etc.).
Le tour de table est complété par CPG à Aix-en-Provence, bpifrance et des business angels, dont Jean-Pierre Gloton, cofondateur de Gemplus.
Cet apport servira à accélérer la commercialisation mondiale de ses boîtiers et à renforcer sa R&D au niveau de la lecture de l’empreinte des bruits et des odeurs, avec un effectif porté de 10 à 20 salariés.